Qui sommes-nous ?

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William

Bourdon

Président

William Bourdon est avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit des sociétés, droit des médias et droit pénal. 

Avant-gardiste dans le domaine des droits de l’Homme, il défend les victimes de la mondialisation et des crimes contre l’humanité. Bourdon défend les lanceurs d’alerte Edward Snowden, Hervé Falciani (Swissleaks) et Antoine Deltour (Luxleaks). En 2001, il fonde l’association Sherpa dont le but est de protéger et défendre les populations victimes de crimes économiques. Il fut secrétaire général de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) de 1995 à 2000. William Bourdon est l’auteur de plusieurs publications sur des questions de justice internationale et des droits de l’homme, dont le “Petit manuel de désobéissance citoyenne” (2014).

Khadija

Sharife

Administratrice

Khadija Sharife est une journaliste d’investigation primée, chercheuse et éditrice.

Elle est la rédactrice en chef pour l’Afrique de l’OCCRP, l’auteur de « Tax Us If You Can: Africa », membre du conseil d’administration de Finance Uncovered et membre du World Policy Institute. Auparavant, elle était rédactrice en chef du Réseau africain des centres d’investigation (ANCIR). Son travail a été présenté lors d’un certain nombre de forums, notamment à l’OCDE, l’UA et les Parlements panafricains, entre autres plateformes. Elle est titulaire d’une maîtrise en droit financier et est basée en Afrique du Sud. Khadija est l’ancienne directrice de PPLAAF.

Moussa

Aksar

Administrateur

Moussa Aksar est un éminent journaliste d’investigation et consultant du Niger.

Il est reconnu pour son engagement dans la lutte contre la corruption, le trafic de drogue, les faux médicaments et les violations des droits de l’homme. En 2002, il a créé le journal nigérien l’Événement et en est devenu le directeur de publication. Il occupe également d’autres fonctions importantes, notamment en tant que Président de la Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation (CENOZO). Il est membre actif du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et de plusieurs autres organisations de journalistes d’investigation comme Organized Crime and Corruption Reporting Project (ORCCP) et le Réseau international de journalisme d’investigation (GIJN). Moussa Aksar a publié de nombreux articles notamment sur les velléités militaires de Mouammar Kadhafi au Niger et les malversations financières au Ministère de la Défense du Niger. Il a aussi participé à plusieurs enquêtes mondiales de journalisme d’investigation comme Fatal Extraction, Panama Papers, Ficenfiles, Pandora Papers et West Africa Leaks dirigées par l’ICIJ.

Jihan

El-Tahri

Administratrice

Jihan El-Tahri est une réalisatrice, écrivaine, productrice et artiste visuelle primée. 

Franco-égyptienne, elle a commencé sa carrière en tant que correspondante étrangère couvrant la politique du Moyen-Orient. Elle a produit et réalisé de nombreux documentaires, notamment « Pharaons modernes d’Egypte », « Derrière l’arc-en-ciel », « Cuba, une odyssée africaine », ainsi que « La Maison des Saoud » nominée aux Emmy. Elle a écrit plusieurs livres dont « Les Sept Vies de Yasser Arafat » (Grasset) et « Israël et les Arabes, La Guerre de 50 Ans » (Penguin). El-Tahri a été trésorier de la Guilde des Cinéastes Africains de la Diaspora, Secrétaire Régionale de la Fédération du Cinéma Panafricain (FEPACI) et Conseillère sur le premier programme Afrique de Focus Feature.

Alioune

Tine

Administrateur

Alioune Tine est un éminent défenseur des droits humains en Afrique de l’Ouest.

Ancien professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, il a créé en 1990 avec d’autres militants la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), l’une des organisations les plus influentes des droits de l’homme en Afrique francophone, toujours à l’avant-garde de la lutte contre l’impunité. Alioune Tine a été le directeur de la RADDHO pendant plus de 20 avant d’être nommé président du Comité sénégalais des droits de l’homme, une autorité administrative chargée de conseiller le gouvernement sénégalais sur la protection des droits de l’homme. En 2015, il a été nommé Directeur d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest, pilotant le travail d’Amnesty dans 22 pays africains. En 2018, il a fondé le think-tank Afrikajom center qui a pour but de renforcer l’Etat de droit dans la région. Il est aussi Expert indépendant des Nations Unies sur la situation des droits de l’Homme au Mali.

staff

Siège

Henri

Thulliez

Directeur exécutif

Il est diplômé en droit de l’Université de Paris Ouest Nanterre La Défense et titulaire d’un LLM de l’Ecole des Etudes Orientales et Africaines (Université de Londres) ainsi qu’un Master en Administration Internationale de l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il était le coordinateur à Human Rights Watch de l’affaire Hissène Habré, l’ancien président du Tchad qui a été jugé devant un tribunal spécial au Sénégal. Henri Thulliez a écrit de nombreux articles dans Le Monde, Libération, Huffington Post et dans la presse américaine Huffington Post France et Newsweek Europe.

Gabriel

Bourdon-Fattal

Directeur des programmes

Gabriel a obtenu une licence de droit à l’Université de Haïfa en 2014 et est devenu un avocat inscrit en 2015. Il a une riche expérience dans les droits de l’homme et les campagnes publiques. Entre autres, il a co-fondé la principale organisation israélienne contre la déportation des enfants des travailleurs migrants et a été chef de projet au Forum international pour la paix à Paris. Gabriel est un ancien élève du Centre européen des droits constitutionnels et des droits de l’homme à Berlin et membre de l’association Our Generation Speaks à Boston.

John

Dell’Osso

Directeur des enquêtes

John Dell’Osso est un enquêteur spécialisé dans la criminalité financière. Il a travaillé sur des affaires de corruption dans le secteur public, de mauvaise gestion des entreprises, de blanchiment d’argent et de diverses pratiques illicites. En plus de diriger les enquêtes de PPLAAF, John est chargé d’identifier les technologies qui peuvent être appliquées à des problèmes de sécurité complexes et de renforcer la protection des lanceurs d’alerte. Auparavant, John a mené des enquêtes sur la République démocratique du Congo pour une ONG spécialisée dans le crime et la corruption. Au cours de son activité, il a publié une série de rapports, notamment dans le cadre de la des enquêtes Congo Hold-Up. Les travaux de John sont parus dans des publications importantes en Afrique, en Asie, en Europe et en Amérique du Nord. Il est diplômé en sciences sociales et se plaît à être autodidacte.

Zeineb

Abdennebi

Chargée de projet

Zeineb est diplômée en droit international de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et en management de projets internationaux d’IRIS Sup. Elle occupait auparavant le poste de rédactrice au sein de la Délégation aux Affaires Européennes et Internationales du Ministère de la Justice. Elle a également travaillé sur la protection des droits des migrants en Afrique du Nord pour l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) ainsi que sur la coopération en matière de traite des êtres humains dans la région MENA pour le Conseil de l’Europe.

Bureau Afrique australe

Zanele

Mbuyisa

Conseillère juridique

 Après avoir travaillé comme avocate dans un cabinet d’avocats britannique, Leigh Day, elle a cofondé en 2005 le cabinet Garratt Mbuyisa Neale Attorneys, qui est devenu Mbuyisa Neale Attorneys en 2012, qu’elle dirige actuellement. Elle a ensuite contribué à la création de Mbuyisa Moleele Attorneys en janvier 2017. Chacun des cabinets d’avocats précédents a un bilan couronné de succès en matière de contentieux et de règlement amiable. Au cours de ses 19 années d’expérience, elle est devenue connue pour son implication dans la représentation des victimes de délits économiques. Zanele Mbuyisa est également cofondatrice de Haki Legal Clinic, une clinique juridique créée en 2017 pour fournir gratuitement des services juridiques de qualité aux personnes qui n’ont pas les moyens de payer un avocat.

Gemma Mae

Hartley

Chargée de projet

Bureau Afrique de l’Ouest

Jimmy

Kande

Directeur Afrique de l’Ouest

Activiste anticorruption, Jimmy Kande est le directeur pour l’Afrique de l’Ouest et francophone de PPLAAF. Financier et banquier de formation, il a travaillé comme gestionnaire du risque crédits au sein de la Banque Commerciale du Congo, il est Président du Réseau panafricain de lutte contre la corruption, UNIS. Il a travaillé comme Chercheur Senior en économie politique au sein de Congo Research Group, un projet basé à l’Université de New York. Il est membre de la coordination de la plateforme le « Congo n’est pas à vendre », Une coalition comprenant 14 organisation locales et internationales (PPLAAF, Global Witness, The carter center, Congo Research Group, Resource Matters) qui lutte contre la corruption en RDC. Il est diplômé en finance et développement de l’université catholique du Congo et diplômé en management bancaire de l’Ecole Supérieure de la Banque de Paris.

Marie Paule

Conaré

Chargée de projet

Salimatou

Diallo

Assistante de programmes

Salimatou Diallo est assistante de programmes à PPLAAF à Dakar. Salimatou a obtenu une licence en sciences économiques et de gestion et suis un master en comptabilité et gestion financière. A 23 ans, elle est la plus jeune de l’équipe de PPLAAF et milite pour le développement personnel au profit des communautés du Sénégal.

conseil stratégique

Anas

Aremeyaw

Anas Aremeyaw est un journaliste d’investigation ghanéen.

Sa devise est « nomme, déshonore et emprisonne » et il est célèbre pour avoir utilisé son anonymat comme outil dans son arsenal d’investigation. Il a été acclamé par la critique pour son travail de défense des droits de l’homme fondamentaux tels que le droit de ne pas être soumis à l’esclavage humain ou à la servitude et pour son travail exposant la corruption. Anas Aremeyaw a remporté plus de 14 prix internationaux pour son travail d’enquête. Il a été nommé l’un des « Africains les plus influents de l’année » par le magazine New African. En décembre 2015, le magazine Foreign Policy a l’a nommé l’un des principaux penseurs mondiaux de 2015, un honneur précédemment accordé à des personnalités comme Barack Obama, Aung San Suu Kyi, le pape Benoît XVI et Malala Yousafzai.

Fadel

Barro

Fadel Barro est un journaliste, activiste sénégalais et membre fondateur du mouvement « Y’en a marre ».

Journaliste d’investigation de formation, il est le cofondateur du mouvement civique sénégalais « Y’en a Marre » et l’un de ses principaux leaders depuis sa création en janvier 2011. Leader d’une « jeunesse conquérante qui tourne le dos à l’exil et au défaitisme », Fadel Barro, à travers son slogan « il n’y a pas de destin forclos, il n’y a que des responsabilités désertées », a su faire de l’engagement civique une philosophie de l’action humaniste qui a rallié les jeunes du continent pour ouvrir de nouvelles possibilités. Il a inspiré une génération de militants qui se retrouvent aujourd’hui au sein de la plateforme Afrikki, composée d’une cinquantaine de mouvements citoyens et d’artistes engagés à travers l’Afrique et ses diasporas. L’organisation de la première Université populaire d’engagement citoyen (UPEC) à Dakar en juillet 2018 a permis de consolider et d’amplifier les échanges de pratiques et d’expériences de ces mouvements qui, s’appuyant spontanément sur les arts et la culture, renforcent la démocratie et les libertés en Afrique. Fadel Barro est ambassadeur de la conscience d’Amnesty International depuis 2016 et a été le coordinateur régional de PPLAAF entre 2020 et 2022.

Sihem

Bensedrine

Ecrivaine et journaliste, experte en justice transitionnelle, Sihem Bensedrine est une figure du combat pour les droits humains en Tunisie ; elle a travaillé pendant plus de trois décennies pour dénoncer les violations et défendre les libertés.

Sous le régime despotique de Ben Ali, elle a été emprisonnée, persécutée et soumise à des campagnes de dénigrement et de calomnies. Après la révolution de 2011 elle poursuit son combat pour les droits humains, les droits des femmes et la liberté d’expression. De juin 2014 à décembre 2018 Sihem Bensedrine a été présidente de « l’instance vérité et dignité » qui a mis en œuvre la loi sur la justice transitionnelle et publié un rapport global sur les violations de droits humains comprenant des recommandations sur les réformes institutionnelles garantissant la non répétition. Sihem Bensedrine a reçu plus d’une quinzaine de prix pour son courage et son combat pour les libertés dont ceux décernés par Amnesty International, Human Rights Watch. Elle est Docteur Honoris causa de l’ULB et de la VUB. Elle est également auteure de plusieurs ouvrages dont Lettre à une amie iraquienne publié aux éditions La Découverte en 2003.

Rokhaya

Diallo

Rokhaya Diallo est une journaliste française, autrice et réalisatrice, reconnue pour son travail en faveur de l’égalité raciale, de genre et religieuse.

Elle est éditorialiste pour le Washington Post et chercheuse au Centre de recherches « Gender+Justice Initiative » de l’université Georgetown. Elle est aujourd’hui une figure médiatique en France et fait partie en 2020 des 28 personnalités les plus puissantes d’Europe selon le site Politico. Elle est éditorialise sur diverses chaînes de télévision et de radio et a réalisé plusieurs émissions et documentaires. En 2006, Rokhaya Diallo a cofondé l’ONG Les Indivisibles dont le but est de déconstruire, notamment par l’humour, les préjugés ethno-raciaux. Elle a écrit plusieurs essais et bandes dessinées dont « Ne reste pas à ta place ! » aux éditions Marabout (2019) ou « La France, tu l’aimes ou tu la fermes ? » aux éditions Textuel (2019). Elle a également réalisé en 2021 « la Parisienne Démystifiée ».

Andrew

Feinstein

Andrew Feinstein est un écrivain sud-africain et un militant basé au Royaume-Uni.

Il a été un facilitateur dans le processus de négociations constitutionnelles qui a conduit aux premières élections démocratiques en Afrique du Sud en 1994, lorsqu’il était député de l’ANC. Il a été député pendant plus de sept ans – notamment au Comité des comptes publics du Parlement, principal organe de supervision financière –, et vice-président de la Commission d’audit du pays. Il a démissionné en signe de protestation lorsque le Comité des comptes publics s’est vu interdire d’enquêter sur un accord d’armement massif impliquant plusieurs entreprises européennes et entaché d’allégations de corruption de haut niveau.

Samantha

Feinsten

Administratrice

Samantha Feinstein est avocate et directrice du programme international du Government Accountability Project.

Samantha rédige des projets de loi sur la protection des lanceurs d’alerte et mène des campagnes de plaidoyer législatif ; elle organise des formations destinées aux juges, aux enquêteurs, aux entreprises et aux organisations de lutte contre la corruption ; elle défend les intérêts des lanceurs d’alerte et mène des campagnes juridiques ; elle gère des équipes et des projets ; elle fait partie de 16 coalitions différentes dans les domaines de la lutte contre la corruption, du travail, de la science et de la protection des droits des lanceurs d’alerte. Elle est vice-présidente du conseil d’administration de la Coalition pour la Convention des Nations unies contre la corruption. Samantha a 23 ans d’expérience dans le domaine du droit international et du développement. Elle est titulaire d’une maîtrise en relations internationales et d’un doctorat en droit. Elle est habilitée à exercer le droit à Washington, DC.

John

Githongo

John Githongo est le directeur d’Inuka Kenya Ni Sisi !, une organisation non gouvernementale impliquée dans les questions de gouvernance au sens large.

Il est également l’ancien président de l’Institut africain pour une gouvernance intègre (Africa Institute for Governing with Integrity); Vice-président exécutif de l’Association sportive des jeunes de Mathare (MYSA); Président du conseil d’administration du Centre africain pour la gouvernance ouverte (AFRICOG); et commissaire de la Commission indépendante sur l’impact de l’aide (ICAI) du gouvernement britannique. Auparavant, il a été vice-président de World Vision, membre associé principal du St Antony’s College Oxford; Secrétaire permanent au Cabinet du Président en charge de la Gouvernance et de l’Ethique du Gouvernement du Kenya; PDG de Transparency International Kenya et membre du conseil d’administration de la Commission kényane des droits de l’homme. En 2011, il a été sélectionné comme l’un des 100 Africains les plus influents au monde par le magazine New African et l’un des 100 meilleurs penseurs mondiaux au monde par le magazine Foreign Policy.

William

Gumede

William Gumede est professeur agrégé de la School of Governance, Université de Witwatersrand, à Johannesburg.

Il est le président de la Democracy Works Foundation. Un de ses derniers livers est “Restless Nation – Making Sense of Troubled Times” (Tafelberg).

Fatou

Jagne Senghore

Juriste gambienne, défenseuse des droits de l’homme, Fatou Jagne Senghore est passionnée par les droits des femmes et la justice sociale.

Fatou a plus de 20 ans d’expérience dans la protection des droits de l’homme en Afrique, de la liberté d’expression et de l’accès à l’information, de la régulation des médias et des droits numériques. Elle siège dans de nombreux conseils consultatifs et de gouvernance d’organismes publics et d’ONG.
Elle a reçu de nombreux prix et distinctions pour son travail dans le domaine des droits de l’homme.

Anuradha

Mittal

Anuradha Mittal est la fondatrice et directrice exécutive de l’Institut d’Oakland, et une experte de renommée internationale dans les domaines du commerce, du développement, des droits de l’homme et de l’agriculture.

Récipiendaire de plusieurs prix, Anuradha Mittal a été nommée le penseur le plus précieux du magazine Nation. L’Institut d’Oakland a divulgué des accords d’investissement foncier dans les pays en développement, qui ont révélé un manque inquiétant de transparence, d’équité et de responsabilisation. Une relation dynamique entre le plaidoyer sur ses recherches et une couverture médiatique internationale a donné lieu à une série de de campagnes réussies aux États-Unis et à l’étranger.

Alvin

Mosioma

Alvin Mosioma est le directeur exécutif et fondateur de Tax Justice Network – Africa.

M. Mosioma, qui a été président de la Financial Transparency Coalition (FTC), est la voix dominante en matière de politique fiscale en Afrique. Il est titulaire d’une maîtrise en économie de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence et travaille dans plusieurs domaines d’intérêt, notamment: politique fiscale, fiscalité internationale, réglementation financière et gouvernance des ressources naturelles.

Anna

Myers

Anna Myers est la directrice exécutive fondatrice du Whistleblowing International Network (WIN), un réseau visant à renforcer les organisations de la société civile qui défendent et soutiennent les lanceurs d’alerte dans le monde entier.

Anna travaille dans le domaine du droit des lanceurs d’alerte depuis 21 ans. Anna est originaire du Canada et est une avocate britannique qualifiée. Elle a été directrice adjointe de Public Concern at Work (désormais appelé Protect) à Londres et a travaillé pour le Groupe d’États contre la corruption (GRECO) à Strasbourg. Elle a conseillé le Comité de coopération juridique (CDCJ) du Conseil de l’Europe sur la recommandation du CM de 2014 sur la protection des lanceurs d’alerte et a rédigé le guide de ressources de l’UNODC sur les bonnes pratiques en matière de protection des lanceurs d’alerte. Sous sa direction, WIN a contribué à l’adoption d’une directive européenne visant à protéger les lanceurs d’alerte.

Pierre

Sané

Pierre Sané est le fondateur et Président du think tank Imagine Africa Institute.

Il a été secrétaire général d’Amnesty International de 1992 à 2001 et Sous-directeur général de l’UNESCO pour les sciences sociales et humaines de 2001 à 2010.

Giovanni

Pellerano

Giovanni Pellerano est le Directeur des Nouvelles Technologies de GlobaLeaks, militant pour le respect de la vie privée et de la transparence au Hermes Center, et ingénieur informatique.

En 2012, il a cofondé le Centre Hermès pour la transparence et les droits numériques de la personne, où il fait des recherches dans le domaine des meilleures pratiques en matière de dénonciation et où il a dirigé le développement de GlobaLeaks. En 2016, il a cofondé Whistleblowing Solutions, une entreprise sociale offrant des services de dénonciation appliquée à la lutte contre la corruption dans le but de rendre le monde meilleur.

Ben

Wizner

Ben Wizner est le directeur du projet « Expression, vie privée et technologie » de l’ Union américaine pour les libertés civiles (ACLU).

Pendant plus de 15 ans, il a travaillé pour les droits des personnes et la sécurité nationale, intervenant dans de nombreuses affaires concernant les politiques de sécurité aéroportuaire, les listes de surveillance gouvernementales, les pratiques de surveillance, les assassinats ciblés et la torture. Il apparaît régulièrement dans les médias mondiaux, a témoigné devant le Congrès et est professeur adjoint à la faculté de droit de l’Université de New York. Depuis juillet 2013, il est le principal conseiller juridique du dénonciateur de la NSA, Edward Snowden. Ben Wizner est diplômé du Harvard College et de la faculté de droit de l’Université de New York, et fut auxiliaire juridique de Stephen Reinhardt, juge de Cour d’appel des États-Unis pour le neuvième circuit.

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